La sève de bouleau était déjà utilisée par nos ancêtres depuis des lustres pour ses vertus thérapeutiques. L’évolution a liée les animaux et les végétaux par une certaine synergie qui n’a jamais cessez de croître. Ainsi de par certaines de leurs propriétés, la plupart des végétaux offrent protection et bris aux animaux. En échange de cette bienveillance les animaux disséminent les semences des végétaux qui ne peuvent se mouvoir. Cette relation très forte n’est pas toujours gagnante pour les deux parties. C’est ainsi que certains végétaux sont mortels pour les animaux et vice versa. Le bouleau fait partie de la première catégorie, ceux là même qui ont choisi la voie de la bienveillance.
La sève de bouleau popularisée par Sainte Hildegarde
Au 12eme siècle le christianisme atteignait son apogée. Les saints étaient des stars, on aurait pu coller leur photo sur une pub pour mieux vendre, tellement ils avaient une aura presque divine. Le pape régnait en maître et la religion avait le vent en poupe. La sève de bouleau était vue à juste titre comme une eau de jouvence. Sainte Hildegarde à grandement a servi de relais pour les vertus de cette sève de bouleau. Elle le préconisait pour les ulcères. Certains médecins à travers les âges ont aussi donné beaucoup de crédit à la sève obtenue en saignant le bouleau. C’est ainsi que cette mode perdure encore de nos jours avec l’utilisation de la sève de bouleau, ici.